Critiques

Animalis

Un prince incognito

Serge Provencher, Rencontre, sept.-oct.-nov. 2019, p. 37.

(…) j’ai lu un livre fascinant pour quiconque s’intéresse à la genèse de notre vie culturelle au XXe siècle.
D’abord, le style. L’auteur se fait biographe, mais s’adresse à son père en le tutoyant. Le procédé est hautement efficace. Il s’en dégage une grande intimité. Les textes du paternel sont insérés en italique. Le bonhomme écrit bien. Dans le style de l’époque. Un peu lyrique. Très passionné. Le chassé-croisé fonctionne à merveille.

François Jobin, Rappel : Parole-Création, 17 février 2018.

Le récit de Claire Varin tient à la fois de la biographie rigoureuse, de l’hommage admiratif et de l’ouvrage d’histoire. C’est aussi un livre audacieux. (…)

Jean-Pierre Durand, Le Patriote, vol. 14, No 2, octobre 2014

D’emblée il faut vous dire que j’ai lu  avec ravissement la biographie que consacre Claire Varin à son père (…) ce livre – excusez le cliché – se lit comme un roman et je ne saurais trop vous le recommander.

(…) Même si on sent le profond attachement filial de l’auteure pour son père, c’est tout à l’honneur de Claire Varin de ne jamais verser dans l’hagiographie primaire. Si elle écrit : Père, héros de mon récit, tu as des qualités. Elle peut aussi dire quelques lignes plus loin: Roger, héros de mon livre, tu as des défauts. Et c’est entre autres ce qui fait le charme de ce portrait.

(…) Gâtez-vous et procurez-vous ce livre.

Hans-Jürgen Greif, Québec français, No 170, automne 2013

Après le magnifique et si émouvant roman de Claire Varin, La Mort de Peter Pan (2009), l’auteure nous propose avec son nouveau livre un sujet on ne peut plus différent. Avec la délicatesse de l’écriture qu’on lui connaît, elle retrace une partie de la vie de son père, Roger Varin (1917—2007), et nous montre des côtés de cette personnalité très en vue au Québec entre les années 1930 et 1950, injustement tombés dans l’oubli. (…)

De toute manière, ce livre, écrit par sa fille, est un incontournable pour vous et vos leçons d’histoire contemporaine. Il vous ouvrira les yeux sur notre passé, et donc, le vôtre. Il vous donnera l’heure juste de ce qui s’est réellement passé à l’époque de vos parents qui ont souvent perçu de façon trop superficielle les événements alors que vous avez, avec ce livre, l’occasion de leur dire pourquoi vous êtes devenus ce que vous êtes. (…)

Un livre à lire, sans faute.

Hélène Lépine, Nuit blanche, No 131, été 2013

Claire Varin a l’art d’approcher les êtres réels ou fictifs qui se voilent de mystère. Elle sait en lever les couches et révéler ce qui les rend si émouvants. (…) Elle trace ici un nouveau portrait avec la même habileté, la même ferveur, la même qualité d’écriture. (…) biographie approfondie, instructive, dont la nécessité est évidente pour la mémoire collective.

Jacques Allard,  écrivain et membre de l’Académie des lettres du Québec, 16 mai 2013

J’ai terminé hier soir la lecture de votre Prince incognito, impressionné par toutes ses rares qualités: pertinence et richesse de la recherche historique; efficacité d’une chronique qui truffe l’exposé des faits de la parole même du personnage principal; élégance d’une expression toujours soignée; tout cela qui signale la présence d’une écrivaine en possession de tous ses moyens. Même dans la mise en texte de la vie familiale qui fut vôtre, ce qui n’allait pas de soi, si l’on pense aux prémonitions avérées de Gide et Sollers sur le rapport de l’écrivain à sa famille.

J’ai donc été touché par la tendresse critique de votre démarche, par cette fierté lucide qui imprègne votre narration, par l’amour raisonné du père qui traverse le texte du début à la fin.

Quant au campivalencien que j’ai été, il a été heureux de retrouver tant de souvenirs et d’allusions aux personnages marquants de son enfance et son adolescence: le vieux chanoine Deguire, un peu précieux, qui trottait dans les couloirs du séminaire, le sentencieux curé Paul-Émile Léger, même l’auguste Mgr Langlois dont, enfant de chœur de 8 ans, il a porté la traîne! (…)

Je vous félicite donc chaleureusement et vous remercie d’avoir fait ce livre qui rend justice à Roger Varin, grand animateur culturel et religieux. Je tiendrai compte de votre travail dans le deuxième roman que je prépare comme suite à Rose de La Tuque que vous avez aimé.

Brèves littéraires, No 86, février 2013

Livre en main, ce qui frappe d’abord, c’est l’élégance de la couverture colorée : montage parfait, titre parfait! (…)  Le style qu’affectionne l’auteure est inclassable. Il s’agit encore une fois d’une patiente reconstitution de faits vécus à partir d’archives, surtout personnelles, enrichie par les émotions sans complaisance de celle qui les découvre ou se les remémore. (…) Le produit fascine par sa précision, le refus de broder dans les trous. (…) Si le parti pris de ne pas romancer déstabilisera les amateurs de biographies traditionnelles, les historiens et les poètes se régaleront.

Benoît Leblanc, Courrier Laval, 16 février 2013

Tout au long du récit, l’auteure s’adressera directement à son père, élaborant ainsi une biographie plus intimiste, captivante et hors-norme.

Stanley Péan, Le libraire, No 75, janvier 2013

On connaît toutes et tous ce lieu commun selon lequel derrière un grand homme se profile une grande dame. Si l’on en croit la fille de Roger Varin, ce poncif se vérifie ici avec le soutien indéfectible qu’offrit au prince incognito cette femme loyale, énergique et cultivée qu’il avait épousée : Jacqueline Rathé, dont Claire Varin esquisse un fort beau portrait. Solidaire, elle a su épauler avec fermeté Roger Varin dans ses luttes, dont la plus mémorable semble être celle qui l’opposa un temps au futur cardinal Léger à propos de l’hebdo Le Salaberry de Valleyfield. Avec admiration, certes, mais sans complaisance, dans cette écriture d’une élégance rare, Claire Varin raconte la vie de son père et de sa mère. Ce faisant, elle donne à voir un pays oscillant entre son attachement aux valeurs traditionnelles chrétiennes et sa soif de modernité, un pays qui ne demande qu’à éclore comme un bouquet de fleurs de lys abreuvé d’idées neuves et de grandes espérances.

Michel Lapierre, « Varin dans le Québec en éveil », Le Devoir, 26 janvier 2012

Gardant ses distances du milieu qu’elle dépeint avec verve, la biographe fait de son livre une longue et vibrante lettre imaginaire, teintée d’humour, à un père chéri et admiré.

Jacques Languirand, 9 décembre 2012

« Un des témoignages les plus extraordinaires sur une des belles époques du Québec, une époque riche mais méconnue, oubliée très rapidement. Je trouve ça très fort. Mon enthousiasme est total et débordant. »

France Théoret, 6 décembre 2012

J’achève la lecture de ton récit biographique : un ouvrage d’envergure, de maturité, une recherche riche d’informations de tous ordres. Je te remercie d’avoir écrit un tel livre. Décidément un livre qui manquait pour les connaissances du Québec. Comme lectrice chercheuse, je suis réjouie, rien de moins.

Aziz Fares, radio Ville-Marie, Salon du livre de Montréal, 16 novembre 2012

« Un prince incognito, à lire, à relire, à découvrir. On apprend plein de choses. »

Marie Brassard, Histoires de livres, canal Vox, 7 novembre 2012

« Vraiment, ce livre est magnifique. »

La Mort de Peter Pan

Ce nouveau livre de Claire Varin, écrit dans une langue magnifique, est d’une structure simple et efficace. Hans-Jürgen Greif, Entre les lignes

Un roman magistral, une leçon d’écriture. Hans-Jürgen Greif, Entre les lignes

« C’est une petite perle. C’est vraiment une beauté. Ça se lit comme de l’eau qui coule. J’ai beaucoup beaucoup apprécié le livre. » Monique Rivard, lectrice au Livre Show

« La Mort de Peter Pan est une de mes belles lectures de cette année.»
Pierre Cayouette, entendu lors du Salon international du livre de Québec

« […] une écriture magnifique. »

Pierre Cayouette, entendu lors du Salon international du livre de Québec

La Mort de Peter Pan s’articule comme une enquête sensible, portée par une écriture d’une grande élégance […]. Tristan Malavoy-Racine, Voir

Écriture élégante et efficace, érotisme et mysticisme confondus, mélange des langues (anglais, français, espagnol), voyage et (surtout) connaissance de l’autre comme moteur du quotidien, le lecteur de Désert Désir n’est pas dépaysé. Benoît Leblanc, hebdomadaire Courrier Laval

[…] c’est d’abord la mort qui est au rendez-vous. Et c’est une mort pleine de vie!  Benoît Leblanc, Courrier Laval

Dans La Mort de Peter Pan, chaque pas des personnages n’est que prétexte à rencontrer du nouveau monde. Chaque geste est une chance de reconstruire l’histoire d’un mort anonyme que l’on a aimé, à qui l’on veut rendre un hommage posthume pour ce qu’il nous a révélé sur la vie, qu’elle soit composée au passé, présent ou futur. Benoît Leblanc, Courrier Laval

La Mort de Peter Pan, malgré ses aspects ésotériques, fascine. Une écriture maîtrisée et un regard sur l’art de vivre et d’écrire qui échappe à la banalité.  Yvon Paré, Progrès-Dimanche

Connue pour son superbe Clarice Lispector. Rencontres brésiliennes (1987 et 2007) et Désert désir (2001), entre autres, l’écrivaine a publié au début de cette année un des meilleurs livres sur le travail du deuil, du moins au Québec. Hans-Jürgen Greif, Québec français 

Un livre écrit avec lucidité ; il vous séduira par ses réflexions toujours justes, son calme, sa finesse. Un texte longuement mûri et poli, où les aspérités sont adoucies par la maturité d’esprit, l’intelligence et le métier de l’écrivaine. Une lecture indispensable : ce travail du deuil peut vous aider si vous ne savez plus comment apaiser votre chagrin. Hans-Jürgen Greif, Québec français 

Le carnaval des fêtes

Ô lecteur dominical, me voilà dépouillé de tout devant toi, remontant ébloui des profondeurs du dernier ouvrage de Claire Varin, ébouriffant florilège de nouvelles où l’auteur pénètre des mondes réputés impénétrables pour nous abandonner, pantois et seuls et ivres d’inconnus au bord de l’Incommensurable, au sein des grandes énigmes du monde. […]

Claire Varin n’a pas froid aux yeux, et puis elle écrit superbement, sous l’empire de l’inventivité. La conjugaison de ses qualités fécondantes fait advenir une littérature à la fois ironique et déconcertante, qui creuse les états de conscience des hommes et leurs procédés de connaissance du monde. […]

La meilleure nouvelle est à mon sens «Julio fête les morts» […] texte plein de trouvailles et d’étrangetés (les âmes perdues y abondent et les morts y circulent à qui mieux mieux) cristallise tous les talents de Claire Varin et concentre en lui la riche substance de ce florilège. Un texte auquel désormais je vouerai un culte. […]
La profondeur de l’esprit transcende la matière pour parvenir à la magie.
Sylvain Trudel, écrivain, Le Soleil, 4 mai 2003.

« Si vous êtes comme moi amateur de nouvelles, vous allez adorer! »
Brigitte Simard, CKRS Chicoutimi, Allô j’écoute, 27 mai 2003

L’écriture de la romancière, nimbée de poésie et de lyrisme, s’anime par ce va-et-vient entre la stabilité du corps et l’instabilité étincelante de l’esprit humain. Claire Varin charme encore et en corps.

Flore Saget, Voir, 26 juin/2 juillet 2003

[…] Au-delà du propos, des récurrences thématiques, c’est l’écriture maîtrisée qui séduit et force l’adhésion. Claire Varin peut s’enorgueillir de l’assurance et de la justesse de sa plume, de la fraîcheur et de la force de ses métaphores. On se laissera volontiers charmer et dépayser par son imaginaire déroutant.

Stanley Péan, Le libraire, automne 2003

Ce livre de Claire Varin, cela fait un moment que je l’ai lu, mais son souvenir ne s’est pas effacé pour autant de ma mémoire. Dernièrement, je voulais en parler, mais je n’arrivais pas à le trouver. Je l’ai cherché partout dans la maison. Disparu. J’étais un peu triste, car c’est un livre qui mérite de trouver son lectorat (je veux dire par là qu’il ne plaira pas forcément à tout le monde). On sent l’auteur tout proche en le lisant. […]

L’auteur qui se présente comme « un pique-assiette du festin divin » lance ainsi son credo dans cette nouvelle qui est ma préférée («Julio fête les morts»): « Si, en cette fin de siècle étranglée entre un matérialisme outrancier et une spiritualité dévoyée par le mercantilisme,  je goûte aux mythes et archétypes, j’aime également me délecter de pétales de capucine et de coeurs de palmier. » Tout le livre ne disserte pas uniquement sur ce ton. C’est plutôt joyeux, audacieux, et tout plein d’autodérision. Et ça parle d’ailleurs (du Brésil surtout) sans être folklorique.

Dany Laferrière, La Presse, 18 avril 2004

Derrière son écriture ciselée et imaginative affleure un sens de l’ironie qui lui assure la sympathie du lecteur… qui traversera ce Carnaval des fêtes d’une traite.
Raymond Bertin, Amazon.ca

Désert désir

« Un livre très bien documenté sur le monde arabe […]. » Pierre Abi-Saab, Beyrouth, Radio-Canada, 06.01.2002

[…] l’œuvre de cette exégète de Clarice Lispector vaut la peine qu’on s’y attarde. […] Quoiqu’elle ait, dans son plus récent roman, Désert désir, troqué le sable des plages de Rio pour celui du Sahara, on y retrouve les mêmes qualités d’écriture — limpidité, lyrisme contenu et sensualité — et la même thématique spirituelle. […] une lecture passionnante, exigeante, qui nous interpelle habilement avec ses thèmes toujours d’actualité.

Stanley Péan, La Presse, 19/12/2001

Il s’agit d’un roman vraiment singulier, une sorte de rééducation des sens d’une espèce ouverte, claire, doublé d’un bildungsroman dans le vrai sens du mot, et ce qui structure le texte est un chant diffus qui l’élève et le construit du début à la fin. Le thème évoqué dans le titre est développé d’une manière supérieure de la première page à la dernière.

Marco Lucchesi, écrivain, traducteur et professeur à Rio de Janeiro

Clair-obscur à Rio

Par moments lyrique ou poétique, ailleurs plus terre-à-terre, chargée de souffrance ou de révolte, l’écriture de Claire Varin est particulièrement soignée et riche. Laissée à sa solitude, son héroïne voyage dans la campagne et les villes d’un Brésil rendu ici dans tous ses mythes, mais aussi ses odeurs, sa sensualité, ses horreurs et ses beautés.

Raymond Bertin, Voir, 19/25 nov. 1998

Dans Clair-obscur à Rio, pas de surcharge anecdotique et de temps qui se télescopent. Au contraire un rythme lent, comme au Brésil sans doute, où une Québécoise méditative et pleine d’intensité est partie chercher l’amour pur (et où l’auteure a fait plusieurs séjours). L’acupuncteur-maître spirituel dont elle tombe amoureuse lui permettra-t-il d’incarner enfin ce sentiment? Mais Christine est un «cheval aérien» qui, bien que subjugué, sait trouver son chemin de liberté. Dans les parages de cette quête circulent des personnages comme on n’en rencontre que là-bas. C’est personnel, avec une écriture recherchée, poétique, baroque parfois.

Lucie Dumoulin, Guide Ressources. déc. 1998

Profession : indien

[…] un récit, sans doute un peu romancé et dont le travail d’écriture, très soigné, relève plutôt du roman. Quoi qu’il en soit, ce petit livre à la narration enlevé, qui se lit d’une traite, est instructif et édifiant. (…) Claire Varin nous entraîne dans un Brésil bien vivant, terrestre et sensuel, misérable, assez loin des clichés véhiculés par les médias. Profession : Indien démasque bien des impostures.

Raymond Bertin, Voir

Ce récit, écrit d’une langue nerveuse, émaillé de métaphores parfois étonnantes, s’ouvre à Montréal sur la rencontre décevante de la narratrice avec un Brésilien qui jour l’Indien persécuté. Il se poursuit par une expédition au Brésil, de Rio de Janeiro à l’Amazonie, nous gorgeant de couleurs et de parfums, nous faisant voguer sur les eaux du fleuve légendaire ou nous mêlant à la vie rude des Indiens et à leurs petites combines, cherchant à percer le sens de leurs revendications. […] Il faut lire ce petit livre, qui prend parfois le ton d’un réquisitoire, ne serait-ce que parce que le Brésil occupe bien peu de place dans notre univers littéraire.

Jean-Claude Dussault, Nuit blanche

Dans son récit, Claire Varin explore donc avec soin et talent le regard que porte une journaliste sur l’autre et, par ricochet, sur elle-même, désarticulant le long de la route un ensemble de préjugés face aux cultures étrangères et nationales.

Claudine Potvin, Lettres québécoises

Langues de feu. Essai sur Clarice Lispector

D’autres commentateurs (canadiens et brésiliens) ont noté avant moi les intelligentes connivences qui existent entre ces deux personnes. La fascination qu’exerce Clarice Lispector sur Claire Varin n’est pas qu’évidente : sa légitimité ne fait aucun doute puisque les écrits de l’auteure brésilienne sont maintenant considérés comme des témoignages de première valeur dans toutes les études littéraires contemporaines. Mais, si cette fascination est justifiée, force nous est de constater également qu’elle donne lieu à une analyse serrée, moderne, lumineuse. Claire Varin, dans ce deuxième ouvrage consacré à Clarice Lispector et publié chez le même éditeur, nous donne des œuvres de C. Lispector une vision particulièrement éclairée.

Yves Dubé, Lettres québécoises, No 62, été 1991

Écrire est donc une question de salut. Dans tous ses textes, dans sa fiction ou ses chroniques, dans tout ce qu’elle dit ou écrit, en public ou dans le privé, Clarice poursuit un obsédant dessein. Elle lie tout à tout. Relie. Ses textes sont ses exercices spirituels. C’est là, dans cette dangereuse atmosphère, dans cet espace interdit, que se produisit la rencontre de Clarice et Claire ─ bien plus qu’une rencontre littéraire. Chacune à leur manière et en leur temps, sont sous le signe du voyage. L’une vint de Russie; l’autre, du Canada. Dans leur voyage intérieur, toutes deux recherchent la langue maternelle universelle ─ celle qu’on ne parle pas dans la tour de Babel où nous sommes tous enfermés.

Otto Lara Resende, préfacier de Línguas de Fogo, écrivain et chroniqueur au journal 0 Globo et à la Folha de São Paulo.

On dirait que Claire Varin a fréquenté Clarice, que Clarice lui a fait des confidences et des révélations, car l’assurance avec laquelle elle se meut dans les labyrinthes relève de l’intimité. Bien que les conclusions auxquelles elle parvient pourront provoquer répliques et polémiques, la thèse de Claire Varin est dès lors une référence obligée dans toute étude sérieuse sur notre romancière. Plusieurs des travaux futurs devront prendre pour point de départ ses pages.

José Geraldo Nogueira Moutinho, écrivain, directeur du Musée d’art sacré de São Paulo.

Captivant, éblouissant, Langues de feu se dévore comme un roman et nous atteint comme un poème. Nous laissant sur une faim heureuse, en route vers le premier ouvrage de Lispector qui nous tombera sous les yeux.

Geneviève Picard, Voir

Rich in biographical information, this essay has four parts: 1) the introductory essay about the importance of language and languages to CL; 2) a thematic biography comprised of brief topics related to periods of her life; 3) a section of brief chapters on each of her books in chronological order; and 4) an unpublished autobiographical meditation by CL with a concluding comment. Many of Varin’s associations between Lispector’ s biography and works are new; she has interviewed those who knew her and published some new manuscript material as well.

Diane Marting, Clarice Lispector. A Bio-Bibliography, United States, 1993.

Pour des critiques de Langues de feu en portugais « Línguas de Fogo, Ensaio sobre Clarice Lispector, críticas ».

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